Ha la la ce blog… Il m’en aura fait rencontrer de belles personnes ! Il m’aura aussi permis de travailler pour ce projet que j’adore « Dans le Vanity de… » pour My Little World et du coup de rencontrer Terry de Gunzburg. Je vous avoue que j’étais assez impressionnée quand j’ai sonné à sa porte, j’appréhendais beaucoup, c’est quelqu’un que j’admire énormément. Mais elle m’a accueillie avec ses talons hauts et ses petits pas, son grand sourire, m’a offert un thé dans son salon ensoleillé, au milieu de ses très belles oeuvres d’art… J’ai adoré discuter avec elle, et je me suis tout de suite détendue ! Terry de Gunzburg a un regard sur la beauté vraiment très intéressant et je suis très admirative de son parcours. Voici donc la retranscription de mon entretien avec elle, illustré avec les photos que j’ai faites ce jour là.
ENTRE DEUX AVIONS, TERRY DE GUNZBURG, NOUS A OUVERT LES PORTES DE SA SALLE DE BAIN ET DE SA TROUSSE À MAQUILLAGE… INONDÉES DE COULEURS ET DE TEXTURES, LES DEUX OBSESSIONS COSMÉTIQUE DE TERRY. AVEC UNE TASSE DE THÉ, QU’ELLE PREND À L’ANGLAISE, AVEC DU LAIT, ON A JOUÉ LES CURIEUSES EN GRIGNOTANT DES FRAISES. ET C’EST PASSIONNANT D’ÉCOUTER CETTE GRANDE DAME DE LA BEAUTÉ, ÉTERNELLEMENT À LA RECHERCHE DE L’INNOVATION, LES YEUX TOURNÉS VERS LE FUTUR…
A quel âge avez-vous commencé à vous intéresser à la cosmétique ?
Depuis l’adolescence vraiment je crois. Mais j’ai toujours adoré les produits. A 10 ans, je dévorais les pages des magazines, tout ce qui avait attrait à la beauté et à la cosmétique m’intéressait. Ce n’était pas obligatoirement les couleurs, mais les crèmes, les parfums…
Et puis je crois que je suis vraiment tombée dans la crème quasiment à la naissance ! Il y a une tradition dans la famille, on rajoute de l’eau de rose dans le bain des bébés et on nettoie le bébé à l’eau de rose et à l’eau de fleur d’oranger. Donc je pense que dès ma naissance j’ai plongé dans la cosmétique. Petite fille je transformais même la boue ! Ma mère m’a raconté que quand j’avais trois ans, je transformais la boue en y écrasant des pétales de fleurs, en essayant de rendre ça en couleur et je le mettais sur moi.
Je me souviens – c’est un souvenir très très clair – je devais avoir quatre ou cinq ans, mes parents étaient sortis le soir et mon rêve, c’était de faire comme ma mère quand elle se maquillait. Elle s’épilait les sourcils avec une espèce de pince qui ressemblait à une paire de ciseaux. Évidemment, je croyais que c’étaient des ciseaux donc je suis allée dans la salle de bain quand ils sont sortis, et je me suis coupée les sourcils ! Tous les sourcils et presque tous les cils ! Et je m’étais mis du rouge à lèvres et ensuite du crayon… Je ne savais plus comment faire, j’étais allée me coucher. Le lendemain elle m’avait retrouvée comme ça ! C’était mon premier contact avec le maquillage ! (Rires)
Votre plaisir c’était de transformer ou de jouer avec les textures ?
Les deux je pense… D’abord c’était pour imiter ma mère qui était une très jolie femme et je me disais toujours : « Quand je serai grande je me coifferai comme ça ! ». C’était les années soixante, elle était coiffée comme on voit dans les films : crêpée avec des petites robes trois trous, l’eye-liner, la peau très bronzée. Elle le faisait avec de la décoction de thé, d’ailleurs je viens de sortir un produit vraiment en hommage à ce souvenir [NDLR : Le Tea to Tan By Terry]…
Il y avait ça et puis aussi l’embellissement, la féminité. Mais après, ça a été l’amour inconsidéré des textures dès l’adolescence.
Y’avait-il des marques qui vous faisaient rêver ?
A l’époque oui bien sûr ! D’abord quand j’étais enfant, sans aucun doute une marque comme Helena Rubinstein qui était le summum du luxe, ou des marques comme Caron. L’odeur de la poudre Caron était une chose incroyable. Il y avait ma mère aussi qui portait un rouge à lèvres qui s’appelait « Cuir » de Dior et se parfumait avec un parfum de Balmain qui s’appelait « Vent Vert ». Je me souviens que c’était l’archétype du luxe ! Elle se faisait les cils avec un cake « Longscils Boncza », les premiers mascaras c’est venu après, avec Rubinstein.
Ensuite quand j’étais ado, ce qui me faisait complétement craquer, et ça a été mon premier contact au make up, c’était Mary Quant, une marque anglaise. Tout ce que vous voyez aujourd’hui, et vous vous écriez « Oh génial le vernis jaune ou le fard à paupières jaune ! », tout ce qu’il y a aujourd’hui chez Hard Candy etc. et bien c’est Mary Quant qui l’a inventé, un peu après 68. C’est la styliste qui a inventé la mini-jupe. En plus j’aimais les packagings des vernis : c’étaient des petites boules rondes blanches avec une fleur très stylisée. Quand je raconte ça aujourd’hui, j’ai l’air de venir de 1515 ! (Rires)
Aviez-vous une icône de beauté ?
Oui, Ali MacGraw qui était encore très très jeune à l’époque, et surtout Twiggy. Cela dit, ce n’était pas vraiment une personne mais toutes ces femmes d’un film qui s’appelle « Qui êtes-vous, Polly Maggoo ? », c’était très années 60, très stylisé. Moi j’avais 15 ans dans les années 70, j’allais à St Tropez avec mes parents en vacances alors sans aucun doute, j’admirais Brigitte Bardot avec la peau bronzée et les grandes créoles. J’aimais des femmes iconiques, belles, libres. Jacky Onassis aussi… Évidemment Françoise Hardy, Sylvie Vartan, France Gall, les gamines comme moi ça nous faisait rêver !
Et vous vous êtes construite avec ces femmes là ?
Complétement à l’envers ! (Rires) C’était comme un fantasme de vie idéale à laquelle je ne correspondais pas. Parce que j’étais une bonne élève, j’avais des parents extrêmement exigeants sur les études. Donc c’était un rêve inaccessible mais je ne me suis pas construite du tout ni dans la liberté de la mode, ni de la beauté. Je le vivais parce que j’étais dans un lycée très réputé où il y avait toutes les plus belles filles de Paris ! Mais je ne m’en rendais pas compte, c’était très naturel. Je me suis sans aucun doute construite dans cette liberté absolue d’être soi. Je n’étais pas timide, mais la « beauté » ce n’était pas mon objectif premier. Mon objectif c’était d’être une femme accomplie, d’avoir un métier, d’être brillante à l’école. J’étais éduquée pour ça !
Il n’y avait pas de culte de la beauté chez moi. Nous avons été élevées, ma sœur et moi, avec ces valeurs. Nous ne serions pas des femmes intéressantes parce belles. Tant mieux si nous devenions des femmes belles mais on ne vouait pas sa vie à ça.
Quel est le meilleur conseil que vous ayez reçu ?
S’hydrater et se nettoyer la peau, c’est une chose comme mettre une culotte propre quoi ! Je ne peux pas sortir sans m’hydrater pour me protéger la peau. Un autre conseil : quand on est de mauvaise humeur, il faut mettre du rouge à lèvres rouge ! Là je ne suis pas de mauvaise humeur mais je suis fatiguée ! Je suis un peu exsangue, et plus on est à bout de tout, quand on n’a pas envie de passer du temps à « s’afficher belle », on se met du rouge à lèvres et on porte des talons hauts, ça nous donne tout de suite un maintient.
Pouvez-vous sortir sans maquillage ?
Évidemment ! Je peux sortir sans maquillage, en revanche, je ne peux pas sortir sans soin. Je passe ma vie professionnelle de façon schizophrène : c’est à dire complètement retirée, sans maquillage, à concevoir et à essayer. Dans ces moments, je suis comme une terre vierge de tout, une page blanche sur laquelle j’essaye tout ! Donc ce sont des phases où je vais au laboratoire, au bureau, avec mes équipes, jamais maquillée parce que j’essaye absolument tout : toutes les textures, toutes les couleurs, toutes les nouveautés, les choses qui ne vont pas être gardées… Je ne suis absolument pas maquillée d’abord pour avoir un œil complètement neutre, mais aussi que ma peau puisse tout recevoir.
Le week-end, je ne me maquille pas non plus. Je porte en revanche des embellisseurs de peau. Mais c’est vrai que même quand je ne me maquille pas, il y a des choses que je porte toujours : le Baume de Rose et Touche Experte ou Touche Velouté quand j’ai des cernes un peu plus sévères. Ce n’est même plus du maquillage pour moi, c’est devenu comme une seconde peau.
Avez-vous une routine beauté ?
Oui bien sûr ! J’ai une routine très répétitive et très mécanique : une douche rapide mais très énergique le matin, avec de grandes bandes japonaises exfoliantes – en synthétique pour les mettre en machine – sur lesquelles je mets mes laits Nuxe. Je me lave avec ça, c’est comme le gant de crin mais beaucoup plus doux, plus efficace et très fin. Je me frotte comme ça de la tête aux pieds. Je me passe même le visage au savon Bio Beauté de Nuxe sous la douche. Je me lave les cheveux tous les deux jours.
Ensuite j’ai un rituel : je me nettoie le visage plus profondément, ça prend exactement trois minutes ! Je mets une crème démaquillante très douce, par dessus je mets une huile démaquillante que je frotte et ensuite j’émulsionne à l’eau et je rince avec un gant de toilette chaud, je rince à la japonaise. Je mets ensuite soit mon Baume d’Eau ou ma crème plus nourrissante, mon Nutribaume de Rose avec en dessous mon Cellular Brightening Serum.
Le soir je me démaquille avec la crème et l’huile et je mets même un tout petit peu de mon grain de rose. Tout cela prend exactement trois minutes. Je fais des choses qui, comme ça, ont l’air un peu compliquées mais qui en fait sont très rapides. Mon secret c’est que ça prenne très peu de temps.
Et le scrub sous la douche ce n’est pas trop agressif ?
Non c’est très doux au contraire. Justement ce n’est pas un gant de crin. Je l’utilise avec plein de gel douche ou parfois de l’huile lavante quand j’ai la peau très sèche. De toute façon, je m’hydrate le corps tous les soirs. Je prends une douche le matin et soir. Très rarement, je prends des grands bains mais pas trop longs… Je ne comprends pas les gens qui me disent : « Je passe des heures dans le bain, ça me relaxe. », moi ça m’exaspère et puis je trouve qu’on a froid ! (Rires)
Parfois, j’aime beaucoup mettre de l’Huile Prodigieuse même l’Huile Prodigieuse Or dans le bain et ensuite je me mets un baume ou un lait pour le corps. J’ai aussi un gros tube de crème à coté de mon lit que je mets sur mes mains et mes pieds. J’ai des gestes assez mécaniques en fait. J’ai des trucs un peu partout… Mon Baume de Rose par exemple, je l’ai dans mon sac, au bureau, dans ma voiture… je le mets partout comme ça. Et on ne se rend pas compte mais finalement ça aide beaucoup au jour le jour à maintenir la peau, l’éclat, la qualité de la peau. Et finalement ça évite beaucoup de problèmes.
Si vous testez beaucoup, vous devez parfois avoir des réactions, des allergies…
Il arrive que ma peau soit fatiguée, elle fait des allergies à des choses… Je teste aujourd’hui des produits qui vont sortir dans trois ans. Donc ce sont des choses qui me sont données, les matières premières, parfois ça flambe !
Vous êtes une kamikaze de la beauté !
Tout à fait ! (Rires) Je ne supporte pas de lancer un produit que je n’ai pas testé. Ce n’est pas possible.
Avez-vous une petite obsession ?
Les mains ! Je mets de l’écran total sur mes mains. Et puis les sourcils. Pas forcément l’épilation mais quand je me maquille, il faut absolument que je me remaquille les sourcils. C’est pour ça que j’ai créé plein de produits pour les sourcils ! (Rires)
J’ai aussi les ongles toujours faits. Je ne peux pas ne pas avoir les ongles faits ! Je ne porte jamais de rouge sur les mains parce que je manipule énormément de pigments, de couleurs. Il faut que je sois dans une certaine neutralité. Mais mes ongles sont toujours manucurés.
Oui c’est vrai que j’ai une obsession pour les sourcils et les mains ! Et c’est vrai que je n’ai pas les mains abîmées, c’est quelque chose que je tiens de ma mère. Ce n’est pas compliqué de mettre un tube de crème dans son sac et ça prend deux secondes. Chez moi tout prend deux secondes !
Mais cela dit, ça peut aussi prendre des heures ! Quand j’ai le temps, j’adore aller au spa, me faire une journée entière de hammam, de massage, de scrub… j’adore ça !
Quels sont vos gros coup de cœur en ce moment justement ?
Tout le maquillage à base d’eau ! C’est vraiment une prouesse technique. Le Tea to Tan, c’est une eau de teint « Aquarelle Soleil ». On en met juste une goutte et ça fait un « print » de soleil, sur la peau c’est extraordinaire.
Vous en mettez sur les joues ?
Partout ! Sur tout le visage, et ce n’est pas juste de l’eau. C’est de l’eau de fruits noirs, pressés à froid comme de l’huile d’olive. Ca a donc déjà la couleur, on rajoute du thé noir et du thé rouge, c’est comme une décoction extrêmement corsée. Vous allez me dire : « Je peux me le faire dans ma cuisine et j’aurais pareil », sauf que ce ne sera pas un produit cosmétique. Vous pourrez le faire comme ma mère autrefois, avec du thé noir et un coton, elle se badigeonnait partout, mais ça tirait la peau… C’est désagréable. Là, on l’a fait en cosmétique. C’est un soin, et c’est de la couleur. C’est waterproof, no transfer. En plus, quand vous le secouez, vous avez un autre produit, plus satiné. C’est plein de prismes correcteurs, comme une goutte d’or mais qui ne va pas faire irisé mais satiné. Et contrairement à la moindre crème ou gel, il ne laisse pas de trace sur la peau, on ne sent rien, on est bronzé mais on n’a aucune matière, ça donne un air complétement naturel. Et ce n’est pas de l’autobronzant, ça part au démaquillant ou à l’eau et au savon pour le visage.
Il y a aussi la version blush : Cheek to Cheek, un pressé à froid de cerise ; avec un effet satiné également. On peut même transformer son baume en baume teinté en le mélangeant au blush, on se fait son propre truc !
Pour moi ce n’est pas de l’innovation, c’est de la rupture cosmétique parce qu’en plus c’est un soin, c’est bourré d’oligo-éléments et de vitamines ! Ca n’existe pas du tout. On connaît le Benetint par exemple, mais c’est de l’eau et du colorant alors que là ce sont des prismes de couleurs et au lieu de se diluer dans de l’eau normale, ça se dilue dans de l’eau active de fruits avec des vitamines. Pour moi c’est une nouvelle façon de se maquiller, de vivre la couleur, ce coté aquarelle qui tient…
Il y a aussi une marque que j’adore, c’est Nailmatic ! Boris, un des créateurs, a travaillé chez moi pendant cinq ans. Il est génial ! Dans mon vanity, j’ai mes vernis et les siens. La qualité est extraordinaire, on devrait en voir, dans le métro, dans les gares … partout, c’est génial ! Je voudrais les aider à réussir.
Depuis que vous travaillez dans la cosmétique, c’est vraiment quelque chose que vous recherchez : l’innovation ?
C’est vraiment ma motivation absolue. Le Wall Street Journal m’avait nommée « le Steve Jobs de la cosmétique » parce que ce qui m’intéresse, c’est de pousser les limites dans l’innovation ; pas pour que ce soit un gadget, il faut vraiment que ce soit utile pour les femmes dans la vie de tous les jours. Des gadgets, il y en a plein les drugstore et Internet, ça ne m’intéresse pas.
Mon Tea to Tan par exemple, c’est une texture ultra scientifique. Il faut que ce soit pour une avancée cosmétique. Quand j’ai créé Touche Eclat chez Saint Laurent, on ne savait pas si c’était un anticerne, un fond de teint… à l’époque ça n’existait pas alors que maintenant ça paraît normal.
Et ça fait quoi d’avoir inventé un produit aussi mythique ?
Rien… Rien du tout, parce que la seule chose qui m’intéresse c’est l’étape d’après, ce que je vais réussir à créer demain. C’est bien, c’est sympa de l’avoir fait. On me demande souvent si je ressens de la fierté. Alors oui j’ai une certaine fierté d’avoir pu offrir à plus de deux millions de femmes par an un geste qu’elles considèrent comme vital…
Quelles valeurs souhaitez-vous transmettre ?
Développer son style plutôt que d’être une fashion ou une beauty victim. Le style, ça ne veut pas dire être tout le temps la même ; oser le style… oser être une un jour et autre le lendemain. Mais il ne faut pas se perdre soi-même, ne pas sombrer dans l’absolu fashion ou beauty parce que c’est à la mode. Et si je peux donner un conseil c’est de se laisser aller à la découverte et au plaisir de découvrir une chose qui donne envie ! Il ne faut pas avoir peur, ce n’est pas si grave. Il suffit de définir son style et de jouer avec. Sans cela c’est mortellement ennuyeux !
Tout à l’heure, vous disiez vouloir aider Nailmatic à réussir, c’est quelque chose que vous faites, conseiller des marques ?
J’aide des marques en offrant tout ce que je peux offrir. Quand on a eu la chance d’avoir le parcours que j’ai eu, ce qui reste à transmettre est encore plus important que ce qu’on a achevé.
Je suis une dame, mais je fais des produits qui peuvent plaire à une petite fille, à ma mère qui a 80 ans, à vous… parce que j’aime la lumière qui passe dans vos yeux. Ce qui est génial c’est d’être capable de transmettre à des gens qui commencent, de les aider au maximum. J’aime beaucoup et je trouve important de transmettre les bonnes valeurs. Ca fait partie de mon devoir de mon obligation même ! Je veux donner les meilleurs produits.
Je ne me considère pas comme une make up artist mais je l’ai été. J’ai eu la chance de l’être avec les plus grands. Quand on a travaillé avec Guy Bourdin, avec Helmut Newton, avec David Lynch… quand on a fait du maquillage comme je l’ai fait à l’époque sans Photoshop ; quand on a travaillé quinze ans avec Yves Saint Laurent, quatre fois par an, faire les défilés avec Yves Saint Laurent, à chaque fois inventer une nouvelle palette, un nouveau rouge à lèvres, un nouveau rouge rouge, avec des couleurs vinyles, des couleurs transparentes… c’est riche ! Et heureusement que je n’ai pas réalisé à l’époque à quel point c’était extraordinaire, sans cela je serais restée dans la nostalgie. C’est juste maintenant que je réalise parce qu’on me pose des questions…
♦♦♦
Un grand grand merci à Terry de m’avoir accordé un peu de son temps !
Pour vous abonner à My Little Box (sans engagement), RDV sur cette page.
Excellente interview !
merci, c’est vraiment interessante
Merci pour ce moment de partage très intéressant ;)
Bise
[lien supprimé]
Très jolie interview. Et les photos sont d’une grande beauté. Félicitations :)
Bisous
J’ai adoré cette interview !
Chouette rencontre et interview ! J’ avais eu la chance de la rencontrer grâce à un concours dans la boutique By Terry à l’ occasion du lancement des parfums ! C’ est une femme simple, élégante !
Cette femme est incroyable, quelle belle rencontre !
[…] Wall Street Journal l’avait nommée dit-elle “« le Steve Jobs de la cosmétique » parce que ce qui l’intéresse, c’est de pousser les limites dans l’innovation … il […]